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Le cercle de femmes – Être à sa juste place

Être à sa juste place est avant tout une vibration intérieure, rayonnante. Expérience intime, une danse, en recherche constante, subtile, d’un juste équilibre entre toutes le parties de notre être.
Nous sentons à l’intérieur de nous-mêmes, là dans le présent que nous offrons, que nous ne pourrions être ailleurs.
Cet alignement vibre dans nos comportements, nos réponses, que nous apportons au monde qui nous entoure.
Lorsque nous sommes à notre juste place, nos besoins, nos désirs, nos valeurs, nos croyances sont alignés et forment un tout cohérent. Nos planètes intérieures sont en harmonie dans une danse énergétique fluide et vivante.

A Gignac, petite ville du Sud où je me trouvais en vacances, j’ai rencontré une boulangère, son sourire rayonnant, son désir de nous faire partager son pain « respirez mon pain, regardez comme il sent bon ! », son corps plein et assumé, exprimait dans une joie communicative, je suis à ma juste place !

La juste place ne se définit pas par rapport au monde, mais uniquement par rapport à soi : c’est être totalement soi ! c’est se re-connaître pleinement dans sa puissance, ses limites, sa vulnérabilité. C’est une affirmation de soi qui commence par l’accueil, la reconnaissance et l’amour de soi-même sur toutes ses facettes. Dans le respect de toutes ses composantes…

Par rapport à l’autre, lorsque nous sommes à la juste place, nous nous positionnons avec facilité dans la douceur et l’affirmation de soi. Cette clarté, envoie à l’autre un signal, qu’il peut aussi faire de même. C’est une invitation qu’il peut saisir où laisser filer. Nous acceptons que nous ne pouvons changer l’autre mais que par contre, nous pouvons changer notre façon d’être avec lui.

Comment percevoir si nous sommes à notre juste place ?
Le repère essentiel est celui de notre intuition profonde ; si nous interrogeons notre petite musique intérieure nous saurons si nous sommes, dans notre présent, à notre juste place. Car cette vibration est ou n’est pas. Si elle est , nous sommes conscient.e.s de nos ressources et potentiels, nous vivons pleinement notre indépendance et notre relation au monde. Et si elle n’est pas, il s’agit d’interroger d’une part , nos besoins : sont-ils satisfaits ? nos valeurs : suis-je en cohérence avec elles et jusqu’à quel point ? nos croyances : sont-elles des ressources ou des limites ? et d’autre part, suis-je en mouvement pour réaliser mes désirs ? et peut-être auparavant, suis-je en état de désir ?

Aujourd’hui «être à sa juste place» est essentiel car le mouvement profond de transformation que nous vivons nous invite à nous repositionner intérieurement pour émettre au monde avec encore plus de justesse par rapport à soi. Ce temps en roue libre pour certains, où il a été possible de rebattre ses cartes personnelles, a redessiné le contour de cette notion « être à sa juste place » par de nouveaux choix de tout ordre.
Coralie, lors d’un entretien de coaching me confiait « j’ai quitté mon job de directrice de marketing en décembre, je ne sais pas encore ce que je veux faire mais je ne voulais plus de ces journées de 12h ni de la pression qui allait avec. Tant pis si je perds en niveau de vie, je veux faire quelque chose qui me nourrit intérieurement, qui donne un sens à ma vie, aligné avec mes valeurs. Bien sûr j’ai peur de ne pas y arriver, c’est normal je suis en plein changement et ce n’est pas toujours confortable. Alors en ce moment je fais plein de choses pour moi, rien que pour moi, pour me reconnecter avec la femme que je suis. Car j’ai l’impression ces dernières années de m’être un peu perdue de vue  »
c’est beau ! émouvant ! d’écouter ce désir qui pointe le nez, cette quête de quelque chose d’essentiel qui manquait jusqu’à présent à Coralie…

Le cercle de femmes
Pour nous ajuster avec clairvoyance et ressentir encore avec plus d’acuité si nous sommes à notre juste place, le cercle de femmes, offre un formidable lieu d’affirmation personnelle et d’élaboration grâce à cette parole libératrice d’énergie.

Dans le cercle de femmes, chacune est de fait «à sa juste place» elle peut l’affirmer avec toutes ses contradictions, ses doutes, ses besoins, ses limites … dans un cadre bienveillant, sécurisant auquel elle peut s’adosser. elle est à sa juste place car souveraine de sa parole unique, magnifique et singulière. elle fait l’expérience d’être écoutée, reconnue dans son humanité vulnérable et puissante.
Et cette expérience lui permet progressivement d’amorcer un mouvement intérieur de transformation sans qu’il y ait injonction extérieure à le faire. Cela se fait parce que le cercle de femmes conforte en permanence sur la justesse de la présence de l’être.
Je vous invite à vivre ces rencontres entre femmes pour affirmer et magnifier votre « juste place »

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Découvrez une clé pour décupler votre puissance au féminin !

Être femme dirigeante, entrepreneuse ou/et manageure nécessite une grande palette de
talents pour être soi-même « femme » tout en étant capable de trancher, de convaincre,
d’innover… car plus le poste est exposé plus la tâche est périlleuse !

2 difficultés majeures guettent les femmes qui souhaitent gagner en puissance et
leadership dans les organisations :

La première est l’Invisibilité. Donnons l’exemple du comité de direction constitué
majoritairement d’hommes. Si une seule femme en fait partie, sa parole est souvent
inaudible, reprise par … un homme à son profit, en toute inconscience. Certaines femmes
me disent « je parle fort et pourtant j’ai l’impression de ne pas être entendue ! » Eh oui, des
siècles de pouvoir féminin maintenu exclusivement dans l’espace privé, ont imprégné nos
perceptions encore aujourd’hui. La parole de la femme dans la cité reste facilement
discréditée.

Le deuxième écueil est la solitude : arrivée au sommet, la solitude que vit la femme
dirigeante est plus marquée que celle de homme au même niveau de responsabilité. Moins
nombreuses, ayant encore peu l’habitude de se soutenir entre femmes, la dirigeante se doit
d’adopter les codes masculins et en même temps préserver et affirmer ses qualités et sa
singularité de femme. Certaines y ont renoncé et deviennent des femmes de pouvoir parfois
plus agressives et tranchantes que leurs homologues masculins.

Pour danser avec bonheur dans ces polarités masculine et féminine, pour mieux se sentir
légitime et grandir en puissance personnelle, la femme dirigeante se doit de trouver dans
son environnement , un espace de parole, de soutien, d’authenticité où elle se sent
reconnue pour ce qu’elle est.

Cet espace est celui de la sororité ! que veut dire ce terme? comment peut-on vivre la
sororité ?

Ce terme signifie fraternité au féminin, utilisé par les congrégations religieuses pendant le
moyen-âge. Exhumé dans les universités américaines, les jeunes étudiantes encore rares au
début de XXème siècle, se saisissent de ce terme, pour créer leurs propres confréries, ne
pouvant accéder à celles dédiées aux étudiants. Citons en exemple La sororité Gamma Phi
Bêta, fondée en 1874 à l’Université de Syracuse, une des plus ancienne… ce terme fera son
chemin notamment pendant les années 70 puis va être de plus en plus employé dans les
réseaux de femmes et cercles de femmes depuis une vingtaine d’années…

Il est cependant utile de rappeler que de tout temps et de toute origine les femmes ont
toujours éprouvé le besoin de se rassembler entre elles et donc vivre leur sororité d’être en
cercle, symbole de l’égalité où toute hiérarchie sociale, culturelle est abolie.
Chaque personne a sa place, unique et fait partie intégrante du cercle.

Pourquoi aujourd’hui rejoindre un cercle de femmes ?
Tout d’abord pour briser les 2 difficultés citées « invisibilité et solitude ». Au sein du cercle
de femmes, chacune trouve sa place, affirme sa légitimité. Elle est vue dans toute sa richesse
et vulnérabilité. Reconnue comme un être à part entière, elle est visible et est pleinement
accueillie dans son unicité. Faire cette expérience, prendre confiance dans ce lien qui se tisse
progressivement, muscle l’affirmation personnelle, renforce l’estime de soi dans la chaleur
d’une compréhension sensible, d’une écoute ouverte et généreuse des sœurs.
Le partage et le retour d’expériences sont riches d’enseignements et permettent de sortir de
la solitude intérieure et de se dire, que d’autres femmes, comme soi, en sont passées par là.

Les bénéfices sont multiples et résonnent différemment pour chaque femme au sein du
cercle.

A l’heure où la compétition, la jalousie et l’individualisme occupent encore le terrain
notamment dans l’entreprise où les jeux de pouvoirs et l’exigence de performance,
demandent à chacune de trouver des ressources , le cercle apporte un espace de douceur,
de détente et de joie. S’Il n’y avait que ce bénéfice ce serait déjà bien suffisant…
Plus globalement, les bénéfices du cercle sont de rassembler pour créer du lien entre toutes
dans un climat bienveillant, de participer à la ronde et entrer dans la danse. Espace de
célébration de la femme, où chacune peut se sentir libre de dire son histoire et accueillir
celles de ses sœurs.

Pour conclure
Le cercle, lieu intimiste où respect et confidentialité riment avec sororité, permet à chacune
de prendre appui et recevoir du soutien. Le féminin peut alors émerger tranquillement en
construisant une alliance féconde et apaisée avec le masculin.

Aujourd’hui ce lien profond dans notre complémentarité nous rend, femmes, plus présentes
au monde, mieux armées pour participer en pleine lumière à l’évolution en marche
d’organisations que nous souhaitons plus collaboratives, bienveillantes, soucieuses du
bien-être des acteurs.rices qui les composent.
Plus fortes, vivantes et pleines d’une féminité douce, puissante, la femme s’accueille enfin
dans une danse joyeuse où son rayonnement inspire et aspire…

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Les stéréotypes de genre en entreprise, comment les déjouer, lorsque l’on est une femme dirigeante ?

Football ou corde à sauter ?
Un jour ma fille alors âgée de 8 ans est rentrée à la maison en pleurs, elle était désolée de n’avoir pu jouer au foot en cour de récréation. En effet les garçons l’en avaient écarté soulignant qu’elle était une fille et qu’elle ne pouvait à ce titre jouer au foot avec eux ! »
Victime d’un stéréotype bien partagé par les garçons de sa classe d’âge « une fille ne peut pas jouer au foot » ma fille a été refoulée vers des jeux considérés comme plus féminins «corde à sauter »

Clarifions ce terme très usité !
Le stéréotype est un ensemble de croyances relatives aux caractéristiques ou attributs d’un groupe. Il est positif ou négatif pas forcément faux et peut être personnel et/ou partagé.
Forgés très tôt dans l’enfance, les stéréotypes sont intériorisés par toutes et tous.
Que veut-on dire par Négatif/Positif ? Donnons un exemple : ce n’est pas négatif d’être un garçon et d’aimer les voitures. Ce qui est négatif, c’est de croire que tous les garçons, sans exception, aiment les voitures et s’y intéressent. Comme il est néfaste de penser que les toutes les femmes aiment le maquillage et s’intéressent à la mode.
Le stéréotype peut être personnel car intériorisé au cours de l’enfance il dépend des messages reçus pendant cette période de la vie. Ainsi un homme peut penser que toutes les femmes ont envie d’avoir un enfant et que celles qui en n’ont pas, sont en manque d’une part d’elle-même. Ce stéréotype est né sans doute parce que dans sa famille la maternité était valorisée comme source d’épanouissement pour les femmes. Il est personnel dans la mesure où il n’est pas partagé par le groupe social auquel appartient cette personne dans sa vie d’adulte.

A quoi servent les stéréotypes ?
Ils répondent à un besoin de catégorisation bien connue des chercheurs , qui consiste à expliquer ce que les gens font, leurs conduites et comportements par ce qu’ils sont par essence et nature. Par exemple si une dirigeante prend peu la parole en cours de réunion, certains pourront se dire « oui c’est normal les femmes ont plus de mal à s’affirmer en public que les hommes ». au lieu de « peut-être qu’elle écoute avec attention et prend la parole quand elle souhaite apporter une
contribution … ?»
De fait, les stéréotypes, comme les comparaisons, nous permettent de donner du sens au monde qui nous entoure rapidement sans remise en question du réel.

Les stéréotypes en entreprise
charisme, combativité, confiance en soi et sens de l’action seraient le propre de l’homme ; créativité, rigueur, écoute et empathie, ceux de la femme. Alors que les premiers attributs permettent d’occuper une fonction de leader, les seconds sont surtout associés à des fonctions d’assistance ou d’appui.
On comprend aisément pourquoi il peut être difficile pour une femme de se sentir légitime dans un poste à responsabilités où l’exercice du pouvoir est, dans nos représentations les plus communes, l’apanage des hommes.
Dans les études, d’autres stéréotypes plus marquants sont très souvent associés aux femmes : les hommes considèrent qu’elles privilégient leur vie de famille, elles ne sont pas disponibles, elles manquent de confiance en elles-mêmes et montrent leurs émotions. Ces stéréotypes renvoyés aux femmes de multiples façons pèsent sur leur évolution à des postes de responsabilités. Les ayant intériorisées, les femmes s’autocensurent ou adoptent des comportements dits masculins
pour être en conformité à la norme dominante.

A quoi renvoient ces stéréotypes ? à nos polarités !
Dans la conférence sur le leadership au féminin que j’ai donné récemment pour le campus, je développe le concept de polarités énergétiques complémentaires. Les stéréotypes nous renvoient aux polarités masculines / féminines, 2 énergies complémentaires que hommes et femmes nous possédons. Il n’existe pas de «traits masculins» ou de «traits féminins». la couleur « rose » n’appartient pas à un genre ou un sexe ainsi que ni une émotion, une passion, ni un comportement…
Ceci pour rappeler que nous avons toutes et tous, en nous, l’ensemble de ces qualités positives car complémentaires. Les qualités énergétiques féminines nous amènent à être dans la réception donc dans l’accueil alors que les qualités masculines favorisent l’émission donc l’agir.
De multiples exemples nous montrent que des femmes qui ont réussi à sortir des représentations sans rien lâcher de leur énergie dite féminine tout en renforçant leur polarité masculine, se sont épanouies à des postes de responsabilité.
La difficulté à laquelle nous sommes confronté.e.s est l’hyper valorisation au cours des siècles des énergies masculines dans le monde du travail. Et du discrédit jeté généralement aux énergies féminines, sous-valorisé.e.s alors que le monde en a, à mon sens, cruellement besoin en cette période de crise.

Comment l’entreprise peut-elle diminuer l’impact négatif des stéréotypes ?
Il y a plusieurs niveaux d’action que peut mener une organisation pour faire prendre conscience des stéréotypes de genre et permettre ainsi aux femmes de ne pas s’autocensurer et d’évoluer vers des postes à responsabilité.Il serait vain d’aborder cette question uniquement sur le plan individuel. Si la volonté de l’entreprise est de faire évoluer les
représentations des compétences, des aptitudes des hommes et des femmes, il est nécessaire d’aborder cette question d’un point de vue systémique. Il s’agit de promouvoir une vision, une volonté interne d’aspirer à plus de diversité. Dans quelle culture d’entreprise évoluons-nous ? quels sont nos modes d’organisation qui facilitent ou pas la disponibilité de
chacun.e ? quels sont les modes de recrutement, d’évolution professionnelle ? quels métiers sont orientés vers les hommes et vers les femmes ? quel style de management est promu, considéré ? ces questions doivent être soutenues par une communication au sein de l’organisation pour permettre la remise en cause des stéréotypes de genre.
Si ce pari de la transformation des stéréotypes vers la singularité de chacun.e est mené dans l’organisation, l’équité des genres est porteuse en termes de productivité et de performances économiques : une étude réalisée fin 2010 par Goodwill Management à partir de quatre grandes entreprises (AXA, l’Oréal, Orange et Vinci) a montré que la diversité augmenterait la rentabilité de 5 à 15% selon les types d’activité.

Constat et ébauche de solutions pour les femmes dirigeantes à titre individuel
Les femmes lorsqu’elles arrivent à des postes à de responsabilités et de gouvernance ont tendance à adopter des comportements plus carriéristes et durs que les hommes pour se faire une place et être respectées. Ce comportement les amènent parfois à s’opposer à l’émergence d’autres femmes pour préserver leur place si difficilement conquise.
Il est nécessaire par un travail sur les représentations d’aider chacune à percevoir l’arrivée des femmes comme un atout pour toutes, en conceptualisant le problème des stéréotypes de genre auquel tout le monde fait face. Une logique intégrative se mettra ainsi progressivement en place et les femmes adopteront des attitudes coopératives et attireront d’autres femmes vers des postes avec un niveau de responsabilités équivalent.
Les réseaux professionnels de femmes développent ce sentiment d’appartenance et favorisent la sororité. Petite parenthèse, la symbolique de ce terme, synonyme féminin de fraternité, est utile aux femmes pour se réapproprier ce qui les relient. De cette ouverture, peut alors s’initier un climat de confiance propice à un véritable débat d’idées, à un élan de solidarité et à une transformation en profondeur des représentations.
A un niveau plus personnel, l’accompagnement de type coaching, mentoring sont des solutions pour transformer son regard et se réapproprier son énergie dîtes féminine et faire face aux stéréotypes qui sont exprimés dans son environnement professionnel. Ainsi les femmes développent leur confiance en elles-mêmes, en leurs capacités à s’épanouir dans un cadre parfois très masculin, encore, dans les instances de pouvoir et de management stratégique.

Pour conclure
Les stéréotypes de genre évoluent durablement lorsque l’organisation manifeste une réelle vision de la mixité et d’un équilibre social pour l’ensemble des salariés, une véritable quête de sens et d’efficience.
Cette vision se doit d’être portée par des actions concrètes qui permettent à chacun.e de modifier son regard sur le rôle des femmes et leurs capacités à prendre des responsabilités et occuper des postes de pouvoir.
Dans l’état de crise économique et sociétale que nous traversons toutes et tous, il me semble que l’entreprise a un rôle majeur à jouer pour libérer les énergies féminines, leur accorder toute la place et permettre ainsi l’émergence d’un mode de gouvernance et de pouvoir équilibré entre les forces masculines et féminines. Cette complémentarité des énergies, comme dans un couple, apporte richesse des regards et génère des solutions innovantes aux problématiques auxquelles nous devons faire face.

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Femmes puissantes d’aujourd’hui

Pour fêter notre nouvelle année quelques femmes qui ont fait la une en 2019  !
Greta Thunberg que je salue pour son courage et sa ténacité au regard de sa grande jeunesse
 
Alexandra Ocasio Cortez, benjamine du congrès américain, dont je vous invite à écouter une étude de son art oratoire dans cette vidéo du nouvel obs
 

 
Adèle Haenel, dont je salue aussi le courage d’avoir dévoiler un traumatisme du passé dans le cadre d’un interview avec ‘Edwy Plenel, Mediapart. Voici cet entretien :

et puis …
Megan Rapinoe –  Fabuleuse footballeuse américaine, 2 fois championne olympique et surtout militante LGBT et anti Trump
 
Sanna Marin  – plus jeune 1ère ministre de la planète, cheffe du gouvernement finlandais. Elle incarne la génération de femmes politiques qui n’ont peur de rien. Elle dirige un gouvernement comprenant 12 femmes pour 8 hommes ! cela fait rêver … 
 
Jessica Meir et Cristina Koch –  Américaines, astronautes à la Nasa, elles ont marqué l’histoire en effectuant la première sortie 100% féminine dans l’espace le 18 octobre 2019
 
Carole Rackete  – Capitaine de navire le Sea-Watch3, elle a été arrêté Juillet dernier en Italie pour avoir accosté à Lampedusa avec une quarantaine de migrants rescapés d’un naufrage en Méditerranée. Elle a osé défier Matteo Salvini et ébranler l’indifférence des dirigeants européens.
 
Karen Uhlenbeck1ère lauréate du prix Abel en mathématique –  « elle a joué un rôle majeur dans les progrès des maths et a inspiré les générations suivantes de femmes à devenir des figures du domaine » dixit Robbert Dijkgraaf,  directeur de l’IAS (Institut d’études avancées, université de Princeton)